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    Techniques de l'information et de la communication et risques psychosociaux sur le poste de travail tertiaire.

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    Les risques psychosociaux sont reconnus comme un des problĂšmes majeurs du monde professionnel contemporain et le dialogue social europĂ©en a inscrit la lutte contre le premier d entre eux, la pandĂ©mie du stress au travail, comme une prioritĂ©. Dans ce contexte le lien entre les techniques de l information et de la communication (TIC) qui innervent les entreprises comme la sociĂ©tĂ© et les risques psychosociaux n est pas formellement Ă©tabli. On continue de poser le travailleur d un cĂŽtĂ© et ses outils de l autre comme si ces derniers Ă©taient de simples instruments passifs au service des premiers, comme s il Ă©tait nĂ©cessaire et suffisant que l homme soit formĂ© au mode d emploi pour les utiliser. Une enquĂȘte statistique nationale, des focus groups, des entretiens qualitatifs et des observations participantes dĂ©montrent que l absence de prise de conscience de l Ă©cosystĂšme numĂ©rique de travail tertiaire a pour consĂ©quence une ignorance de ses effets indĂ©sirables qui sont aussi puissants que nombreux. Cette lacune entraĂźne une maĂźtrise largement dĂ©faillante par les acteurs et les organisations professionnelles.Psychosocial risks are recognized as one of the major problems of the contemporary professional world and the European social dialogue has took on the fight against the first of them, the pandemic of work-related stress, as a priority. In this context the relationship between information and communication technology (ICT) that innervates companies as well as society and psychosocial risks is not formally established. One continues to consider worker on one side and tools on the other side as if they were mere passive instruments to support men at work, as if it was necessary and sufficient to be formed in the instruction for their use. A national statistical survey, focus groups, qualitative interviews and participant observations show that the lack of awareness of the digital ecosystem of tertiary workplaces has resulted in ignorance of the adverse effects that are as powerful as many. This gap leads to widespread control deficiencies in workers and professional organizations.PAU-BU Lettres (644452101) / SudocSudocFranceF

    Transition numĂ©rique et pratiques de recherche et d’enseignement supĂ©rieur en agronomie, environnement, alimentation et sciences vĂ©tĂ©rinaires Ă  l’horizon 2040.

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    Pour citer ce document:Barzman M. (Coord.), Gerphagnon M. (Coord.), Mora O. (Coord.),Aubin-Houzelstein G., BĂ©nard A., Martin C., Baron G.L, Bouchet F., Dibie-BarthĂ©lĂ©my J., Gibrat J.F., Hodson S., Lhoste E., Moulier-Boutang Y., Perrot S., Phung F., Pichot C., SinĂ© M., Venin T. 2019. Transition numĂ©rique et pratiques de recherche et d’enseignement supĂ©rieur en agronomie, environnement, alimentation et sciences vĂ©tĂ©rinaires Ă  l’horizon 2040.INRA, France, 161pagesTransition numĂ©rique et pratiques de recherche et d’enseignement supĂ©rieur en agronomie, environnement, alimentation et sciences vĂ©tĂ©rinaires Ă  l’horizon 2040

    Techniques de l’Information et de la Communication et risques psychosociaux sur le poste de travail tertiaire

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    Les risques psychosociaux sont reconnus comme un des problĂšmes majeurs du monde professionnel contemporain et le dialogue social europĂ©en a inscrit la lutte contre le premier d’entre eux, la pandĂ©-mie du stress au travail, comme une prioritĂ©.Dans ce contexte le lien entre les techniques de l’information et de la communication (TIC) qui in-nervent les entreprises comme la sociĂ©tĂ© et les risques psychosociaux n’est pas formellement Ă©tabli.On continue de poser le travailleur d’un cĂŽtĂ© et ses outils de l’autre comme si ces derniers Ă©taient de simples instruments passifs au service des premiers, comme s’il Ă©tait nĂ©cessaire et suffisant que l’homme soit formĂ© au mode d’emploi pour les utiliser.Une enquĂȘte statistique nationale, des focus groups, des entretiens qualitatifs et des observations par-ticipantes dĂ©montrent que l’absence de prise de conscience de l’écosystĂšme numĂ©rique de travail tertiaire a pour consĂ©quence une ignorance de ses effets indĂ©sirables qui sont aussi puissants que nombreux.Cette lacune entraĂźne une maĂźtrise largement dĂ©faillante par les acteurs et les organisations profes-sionnelles.Psychosocial risks are recognized as one of the major problems of the contemporary professional world and the European social dialogue has took on the fight against the first of them, the pandemic of work-related stress, as a priority.In this context the relationship between information and communication technology (ICT) that inner-vates companies as well as society and psychosocial risks is not formally established.One continues to consider worker on one side and tools on the other side as if they were mere passive instruments to support men at work, as if it was necessary and sufficient to be formed in the instruc-tion for their use.A national statistical survey, focus groups, qualitative interviews and participant observations show that the lack of awareness of the digital ecosystem of tertiary workplaces has resulted in ignorance of the adverse effects that are as powerful as many.This gap leads to widespread control deficiencies in workers and professional organizations

    Information and Communication Technology and psychosocial risks at tertiary worker workplace

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    Psychosocial risks are recognized as one of the major problems of the contemporary professional world and the European social dialogue has took on the fight against the first of them, the pandemic of work-related stress, as a priority.In this context the relationship between information and communication technology (ICT) that inner-vates companies as well as society and psychosocial risks is not formally established.One continues to consider worker on one side and tools on the other side as if they were mere passive instruments to support men at work, as if it was necessary and sufficient to be formed in the instruc-tion for their use.A national statistical survey, focus groups, qualitative interviews and participant observations show that the lack of awareness of the digital ecosystem of tertiary workplaces has resulted in ignorance of the adverse effects that are as powerful as many.This gap leads to widespread control deficiencies in workers and professional organizations.Les risques psychosociaux sont reconnus comme un des problĂšmes majeurs du monde professionnel contemporain et le dialogue social europĂ©en a inscrit la lutte contre le premier d’entre eux, la pandĂ©-mie du stress au travail, comme une prioritĂ©.Dans ce contexte le lien entre les techniques de l’information et de la communication (TIC) qui in-nervent les entreprises comme la sociĂ©tĂ© et les risques psychosociaux n’est pas formellement Ă©tabli.On continue de poser le travailleur d’un cĂŽtĂ© et ses outils de l’autre comme si ces derniers Ă©taient de simples instruments passifs au service des premiers, comme s’il Ă©tait nĂ©cessaire et suffisant que l’homme soit formĂ© au mode d’emploi pour les utiliser.Une enquĂȘte statistique nationale, des focus groups, des entretiens qualitatifs et des observations par-ticipantes dĂ©montrent que l’absence de prise de conscience de l’écosystĂšme numĂ©rique de travail tertiaire a pour consĂ©quence une ignorance de ses effets indĂ©sirables qui sont aussi puissants que nombreux.Cette lacune entraĂźne une maĂźtrise largement dĂ©faillante par les acteurs et les organisations profes-sionnelles

    Information and Communication Technology and psychosocial risks at tertiary worker workplace

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    Psychosocial risks are recognized as one of the major problems of the contemporary professional world and the European social dialogue has took on the fight against the first of them, the pandemic of work-related stress, as a priority.In this context the relationship between information and communication technology (ICT) that inner-vates companies as well as society and psychosocial risks is not formally established.One continues to consider worker on one side and tools on the other side as if they were mere passive instruments to support men at work, as if it was necessary and sufficient to be formed in the instruc-tion for their use.A national statistical survey, focus groups, qualitative interviews and participant observations show that the lack of awareness of the digital ecosystem of tertiary workplaces has resulted in ignorance of the adverse effects that are as powerful as many.This gap leads to widespread control deficiencies in workers and professional organizations.Les risques psychosociaux sont reconnus comme un des problĂšmes majeurs du monde professionnel contemporain et le dialogue social europĂ©en a inscrit la lutte contre le premier d’entre eux, la pandĂ©-mie du stress au travail, comme une prioritĂ©.Dans ce contexte le lien entre les techniques de l’information et de la communication (TIC) qui in-nervent les entreprises comme la sociĂ©tĂ© et les risques psychosociaux n’est pas formellement Ă©tabli.On continue de poser le travailleur d’un cĂŽtĂ© et ses outils de l’autre comme si ces derniers Ă©taient de simples instruments passifs au service des premiers, comme s’il Ă©tait nĂ©cessaire et suffisant que l’homme soit formĂ© au mode d’emploi pour les utiliser.Une enquĂȘte statistique nationale, des focus groups, des entretiens qualitatifs et des observations par-ticipantes dĂ©montrent que l’absence de prise de conscience de l’écosystĂšme numĂ©rique de travail tertiaire a pour consĂ©quence une ignorance de ses effets indĂ©sirables qui sont aussi puissants que nombreux.Cette lacune entraĂźne une maĂźtrise largement dĂ©faillante par les acteurs et les organisations profes-sionnelles

    Information and Communication Technology and psychosocial risks at tertiary worker workplace

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    Les risques psychosociaux sont reconnus comme un des problĂšmes majeurs du monde professionnel contemporain et le dialogue social europĂ©en a inscrit la lutte contre le premier d’entre eux, la pandĂ©mie du stress au travail, comme une prioritĂ©. Dans ce contexte le lien entre les techniques de l’information et de la communication (TIC) qui innervent les entreprises comme la sociĂ©tĂ© et les risques psychosociaux n’est pas formellement Ă©tabli. On continue de poser le travailleur d’un cĂŽtĂ© et ses outils de l’autre comme si ces derniers Ă©taient de simples instruments passifs au service des premiers, comme s’il Ă©tait nĂ©cessaire et suffisant que l’homme soit formĂ© au mode d’emploi pour les utiliser. Une enquĂȘte statistique nationale, des focus groups, des entretiens qualitatifs et des observations participantes dĂ©montrent que l’absence de prise de conscience de l’écosystĂšme numĂ©rique de travail tertiaire a pour consĂ©quence une ignorance de ses effets indĂ©sirables qui sont aussi puissants que nombreux. Cette lacune entraĂźne une maĂźtrise largement dĂ©faillante par les acteurs et les organisations professionnelles.Psychosocial risks are recognized as one of the major problems of the contemporary professional world and the European social dialogue has took on the fight against the first of them, the pandemic of work-related stress, as a priority. In this context the relationship between information and communication technology (ICT) that innervates companies as well as society and psychosocial risks is not formally established. One continues to consider worker on one side and tools on the other side as if they were mere passive instruments to support men at work, as if it was necessary and sufficient to be formed in the instruction for their use. A national statistical survey, focus groups, qualitative interviews and participant observations show that the lack of awareness of the digital ecosystem of tertiary workplaces has resulted in ignorance of the adverse effects that are as powerful as many. This gap leads to widespread control deficiencies in workers and professional organizations

    Information and Communication Technology and psychosocial risks at tertiary worker workplace

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    Psychosocial risks are recognized as one of the major problems of the contemporary professional world and the European social dialogue has took on the fight against the first of them, the pandemic of work-related stress, as a priority.In this context the relationship between information and communication technology (ICT) that inner-vates companies as well as society and psychosocial risks is not formally established.One continues to consider worker on one side and tools on the other side as if they were mere passive instruments to support men at work, as if it was necessary and sufficient to be formed in the instruc-tion for their use.A national statistical survey, focus groups, qualitative interviews and participant observations show that the lack of awareness of the digital ecosystem of tertiary workplaces has resulted in ignorance of the adverse effects that are as powerful as many.This gap leads to widespread control deficiencies in workers and professional organizations.Les risques psychosociaux sont reconnus comme un des problĂšmes majeurs du monde professionnel contemporain et le dialogue social europĂ©en a inscrit la lutte contre le premier d’entre eux, la pandĂ©-mie du stress au travail, comme une prioritĂ©.Dans ce contexte le lien entre les techniques de l’information et de la communication (TIC) qui in-nervent les entreprises comme la sociĂ©tĂ© et les risques psychosociaux n’est pas formellement Ă©tabli.On continue de poser le travailleur d’un cĂŽtĂ© et ses outils de l’autre comme si ces derniers Ă©taient de simples instruments passifs au service des premiers, comme s’il Ă©tait nĂ©cessaire et suffisant que l’homme soit formĂ© au mode d’emploi pour les utiliser.Une enquĂȘte statistique nationale, des focus groups, des entretiens qualitatifs et des observations par-ticipantes dĂ©montrent que l’absence de prise de conscience de l’écosystĂšme numĂ©rique de travail tertiaire a pour consĂ©quence une ignorance de ses effets indĂ©sirables qui sont aussi puissants que nombreux.Cette lacune entraĂźne une maĂźtrise largement dĂ©faillante par les acteurs et les organisations profes-sionnelles

    La transition numérique dans la recherche et l'enseignement supérieur à l'horizon 2040

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    National audiencePlateformes, rĂ©seaux sociaux, ressources en ligne, simulations, apprentissage Ă  distance, donnĂ©es d’apprentissage, donnĂ©es massives, intelligence artificielle
 la transition numĂ©rique bouleverse l’enseignement supĂ©rieur et la recherche publics. Elle modifie les contenus, les outils et mĂ©thodes pĂ©dagogiques, ainsi que le rĂŽle des enseignants et des apprenants. Elle remodĂšle la recherche, ses pratiques, ses mĂ©tiers et son Ă©cosystĂšme.Pour anticiper les changements induits par la transition numĂ©rique Ă  l’horizon 2040, INRAE et Agreenium ont commanditĂ© cette prospective. S’appuyant sur un groupe d’experts et sur une synthĂšse des tendances actuelles dans les sciences agronomiques, de l’environnement, de l’alimentation et vĂ©tĂ©rinaires, elle a abouti Ă  la construction de quatre scĂ©narios dont les enseignements sont pertinents bien au-delĂ  de ces domaines scientifiques pour les chercheurs, enseignants, dĂ©cideurs et prospectivistes. Ces scĂ©narios Ă©clairent les enjeux des Ă©volutions de l’apprentissage, du partage des savoirs et des transformations des pratiques scientifiques. Ils ouvrent de nouvelles perspectives sur les relations entre la science et la sociĂ©tĂ©, et sur le rĂŽle de la recherche publique face aux gĂ©ants du numĂ©rique

    Exploring Digital Transformation in Higher Education and Research via Scenarios

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    International audienceDigital transformation induces rapid and profound changes in higher education and research (HER). With this foresight, INRAE and Agreenium, two French public HER institutions centered on food, agriculture and the environment, explore the challenges they face in a world increasingly dependent on digital resources. Four scenarios generated via morphological analysis provide researchers, teachers and institutions a heuristic framework to anticipate risks and opportunities in terms of: platformization of research, commodification of knowledge and the ascendency of data; pressing demands to respond to planet-wide emergencies; renewed multi-stakeholder relations between civil society and the academic community; and limits on energy and raw materials devoted to digital uses

    : Rapport de la prospective

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    Transition numĂ©rique et pratiques de recherche et d’enseignement supĂ©rieur en agronomie, environnement, alimentation et sciences vĂ©tĂ©rinaires Ă  l’horizon 2040
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